A partir de la fin du XVIIe siècle, les importations de porcelaines de Chine et du Japon se diversifièrent et les nouvelles générations rejetèrent l'accumulation des bleus et blancs pour préférer les pièces polychromes et les céladons. Les amateurs les mêlaient avec leurs collections de peintures et de bronzes, appréciant le contraste des matériaux.
Cet ouvrage, réalisé à partir d'archives inédites, retrace les circuits commerciaux, l'évolution du goût et des usages de la porcelaine de Chine et du Japon aux XVIIe et XVIIIe siècles à Paris.